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La "faim cachée", c'est-à-dire la malnutrition qui résulte d'une consommation insuffisante d'aliments riches en micronutriments comme les fruits et les légumes, est de plus en plus considérée comme une menace pour la santé mondiale. Un document de travail publié par le programme HarvestPlus du CGIAR estime que jusqu'à 2 milliards de personnes dans le monde sont touchées par la malnutrition en micronutriments.

Cet article a été publié à l'origine sur AllAfrica.com. Écrit par Deogratias Mushi.

En 2009, les Nations unies ont estimé que 60 % des personnes souffrant chroniquement de la faim dans le monde étaient des femmes et des filles, dont 98 % vivaient dans des pays en développement.

Le texte suivant, rédigé par Alejandro Nin Pratt, chercheur principal à l'IFPRI, a été initialement publié sur ASTI News and Notes.

Depuis qu'elle a été citée pour la première fois dans un document de 1972 de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique, l'idée que les femmes effectuent 60 à 80 % du travail agricole en Afrique a été un thème central dans le débat plus large sur le genre et le développement. Cependant, une nouvelle étude publiée par l'initiative de la Banque mondiale intitulée "Étude sur la mesure des niveaux de vie - Enquêtes intégrées sur l'agriculture" (LSMSISA) remet désormais en question cette idée communément admise.

Ce blog a été initialement publié sur le site web de Together for Nutrition .

Cette conférence a eu lieu le 15 juin à Addis-Abeba. Près de 150 personnes y ont participé, issues de divers secteurs et organisations, afin d'apprendre et de partager les dernières recherches sur l'alimentation et la nutrition.