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Risques climatiques et adoption des intrants

20 déc 2016 • rédigé par Sara Gustafson

Le maïs constitue une importante culture de base dans la majeure partie de l’Afrique sub-saharienne, mais la production de maïs comporte des risques. Le climat est l’un des risques les plus significatifs auxquels sont confrontés les producteurs de maïs. Les conditions climatiques variables et hétérogènes représentent un défi pour les cultures pluviales telles que le maïs et ont été identifiées comme étant la cause des faibles taux d’utilisation d’engrais et d’adoption de variétés améliorées de semences, selon un document de travail publié par le programme HarvestChoice d’IFPRI.

Engrais organiques et inorganiques au Nigéria

30 nov 2016 • rédigé par Sara Gustafson

Les engrais, et en particulier les engrais inorganiques (produits chimiques), ont la capacité d’augmenter substantiellement la productivité agricole des agriculteurs. Cependant, au Nigéria, l’utilisation d’engrais reste faible ; selon un nouveau document de travail AGRODEP, l’utilisation d’engrais inorganiques au Nigéria est de 11,3 kg/ha et l’utilisation d’engrais organique n’est que de 0,2kg/ha. Ce qui met le Nigéria bien en dessous de la cible des 50kg/ha établie dans la Déclaration d’Abuja.

La sécurité alimentaire au Malawi

15 nov 2016 • rédigé par Sara Gustafson

Pour la deuxième année consécutive, le Malawi est confronté à un déficit en maïs. Pour la campagne commerciale de 2016-2017, l’écart de production du maïs devrait être de 953.000 MT, selon un nouveau document de perspective sur la sécurité alimentaire de FEWS Net.

Impacts du PDDAA sur le développement par l’agriculture en Afrique

8 sep 2016 • rédigé par Sara Gustafson

En 2003, les pays membres de l’Union Africaine ont lancé une nouvelle initiative visant à augmenter la sécurité alimentaire et à réduire la pauvreté à travers la croissance et le développement du secteur agricole dans la région. Le Programme Détaillé de Développement de l’Agriculture en Afrique, ou PDDAA, a établi une cible de 6 pour cent de croissance annuelle moyenne du secteur agricole, ainsi que l’allocation  de 10 pour cent des dépenses annuelles du gouvernement à ce secteur.

Analyse de la chaîne de valeur du blé en Ethiopie

17 aoû 2016 • rédigé par Sara Gustafson

Le blé jour un rôle prédominant à la fois dans le régime alimentaire et dans l’économie de l’Ethiopie. Selon une recherche menée par l’IFPRI pour l’Agence de Transformation Agricole de l’Ethiopie (ATA), le blé est la quatrième céréale la plus largement cultivée dans le pays (après le teff, le maïs et le sorgho) et il se positionne à la quatrième place (avec le teff) en termes de valeur brute de la production. De plus, le blé et les produits à base de blé constituent 14 pour cent de l’apport calorique total du pays.